Les frameworks de développement web, on les aime, on les déteste. Quand jQuery est sorti, c'était une révolution. Aujourd'hui beaucoup de lead developers conseillent de ne pas l'utiliser. Il faut dire que les frameworks donnent naissance à des débats passionnés. Dans le monde PHP, c'est pareil : Symfony, Zend Framework ou Laravel ? Derrière ces questions se cachent des choix cruciaux : WTF contre RAD, vitesse contre expressivité, facilité d'utilisation contre facilité d'intégration... Un framework est toujours un compromis fait à un instant donné pour aider ses utilisateurs sans se mettre en travers de leur chemin. Mais les besoins des développeurs changent. C'est pourquoi les frameworks doivent aussi changer. Après une brève histoire des frameworks de développement depuis les années 2000, nous essaierons de découvrir ensemble quelles sont les tendances dans l'évolution des frameworks, de comprendre où ils nous mèneront dans quelques années, et si vous aurez à les utiliser...
Un gars joue du blues dans la rue
<p style="text-align: center;"><iframe src="https://www.youtube.com/embed/T_5sUcMpFXk" width="560" height="315" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>
<p style="text-align: left;">Carlos Santana, Eddie Van Halen, Mark Knopfler, Brian May, Slash… Ça vous dit quelque-chose ?</p>
<p>Ce qu’il y a de bien avec un standard de la pop – même si celui-ci n’a que deux années d’existence – c’est qu’on le reconnait au nombre de reprises dont il fait l’objet. Pas seulement de simples reprises, d’ailleurs, mais souvent aussi des adaptations dans d’autres styles.</p>
Les débits étant ce qu’ils sont actuellement télécharger une vidéo est devenu assez banal. Dans le même temps pas mal de platefromes permettant de visualiser des vidéos en ligne sont apparues, mais parfois, nous préférons pour des raisons pratiques les avoir sur notre machine. CClive est une application très sympathique, dont le but est de permettre aux utilisateurs de télécharger des vidéos en provenance de diverses plateformes en ligne, à l’aide d’un simple terminal. Nous avons déjà évoqué quelques applications de ce type, mais CClive a l’avantage d’être globalement plus facile à utiliser (en usage basique) et ne semble pas se limiter à un nombre restreint de plateformes d’hébergement. En dehors des plus grosses comme Dailymotion par exemple, j’en ai testé pas mal où ça a fonctionné. Si ça vous tente nous allons voir tout de suite comment ça marche et comment en profiter sur Arch Linux, Manjaro, Debian et Ubuntu.
Au niveau de l’installation il n’y a rien de bien compliqué. Il suffit d’ouvrir un terminal et d’entrer la commande relative à votre distribution.
Debian, Ubuntu et dérivés :
sudo apt-get install cclive
Arch Linux, Manjaro et dérivés :
sudo pacman -S cclive
Une fois que c’est fait le reste est très simple. Il suffit d’entrer la commande de base dans votre terminal, suivie de l’URL de la vidéo que vous souhaitez télécharger.
cclive url-video
Vous pouvez également télécharger plusieurs vidéos en même temps, en utilisant la syntaxe suivante :
cclive url1 url2 url3
Si vous souhaitez prendre connaissance et accéder aux diverses options de CClive, utilisez simplement l’argument « -h » et le tour est joué.
cclive -h
Alors ça ne casse pas 3 pattes à un canard, mais c’est pratique :)
Amusez-vous bien.